Pourquoi le T2 et le T3 sont les formats les plus rentables en courte durée

La plupart des propriétaires se demandent s’il vaut mieux proposer un studio, un T2 ou un T3 en location courte durée. L’expérience montre que les T2 et T3 représentent l’équilibre idéal. Un T2 offre assez d’espace pour accueillir un couple, parfois une petite famille, tout en restant accessible en termes de prix par nuit. Un T3, de son côté, attire aussi bien les familles que les voyageurs d’affaires en groupe, souvent prêts à payer davantage pour bénéficier de deux chambres séparées.

Dans les zones comme Antony, Sceaux et L’Haÿ-les-Roses, proches de Paris mais plus résidentielles, cette typologie est particulièrement recherchée par des voyageurs en quête d’un bon rapport qualité/prix et d’un cadre plus calme que l’hypercentre parisien.

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Antony : un hub résidentiel et universitaire attractif

La ville d’Antony, connectée par le RER B et le RER C, attire à la fois les étudiants de l’Université Paris-Saclay, les familles en visite et les voyageurs d’affaires cherchant un logement bien relié à Paris et à l’aéroport d’Orly.

Un T2 de 40 m² peut générer en moyenne 18 000 à 20 000 € bruts par an en location courte durée, avec un prix moyen autour de 90 à 110 € la nuit et un taux d’occupation proche de 70 %.
Un T3 de 60 m², mieux adapté aux familles ou aux voyageurs d’affaires, peut atteindre 25 000 à 28 000 € bruts par an, surtout en combinant une tarification dynamique lors des périodes de forte demande (rentrée universitaire, vacances scolaires, congrès à proximité).

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Sceaux : le charme résidentiel et culturel

Sceaux bénéficie d’un attrait unique : son cadre résidentiel, son célèbre parc et sa proximité immédiate avec Paris via le RER B. La ville attire un public varié : familles en séjour détente, touristes cherchant un pied-à-terre hors de l’agitation parisienne, mais aussi des visiteurs culturels grâce à son patrimoine.

Un T2 bien décoré de 35 à 45 m² se loue facilement entre 85 et 120 € la nuit, ce qui peut générer 16 000 à 19 000 € bruts annuels en courte durée.
Un T3 de 60 à 70 m², situé proche du parc ou de la gare RER, peut dépasser 24 000 € bruts par an, notamment si le logement est optimisé avec une annonce professionnelle et un ménage de qualité hôtelière.

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L’Haÿ-les-Roses : un marché en pleine montée

Moins connue que ses voisines Antony et Sceaux, L’Haÿ-les-Roses profite d’un fort développement immobilier et de sa proximité avec Villejuif et la ligne 14 du métro qui se prolonge. C’est une alternative stratégique pour les voyageurs qui veulent accéder à Paris rapidement tout en bénéficiant de tarifs plus abordables.

Un T2 de 40 m² peut générer 15 000 à 17 000 € bruts annuels, avec un tarif moyen de 80 à 100 € par nuit.
Un T3 de 60 m² bien situé peut atteindre 21 000 à 23 000 € bruts annuels, surtout auprès des familles qui cherchent une alternative économique aux hôtels de Paris.

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Les points à surveiller : réglementation et fiscalité

Comme partout en Île-de-France, la location courte durée n’est pas totalement libre. Pour une résidence principale, le propriétaire peut louer son bien jusqu’à 120 nuits par an. Pour une résidence secondaire, une demande d’autorisation de changement d’usage est obligatoire, et la mairie est de plus en plus attentive aux contrôles.

Côté fiscalité, les revenus générés sont imposables, généralement dans le régime du micro-BIC qui permet de bénéficier d’un abattement forfaitaire de 50 % (ou 71 % pour une location classée meublé de tourisme). Il est donc essentiel d’intégrer cet aspect dans le calcul de la rentabilité nette.

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Simulation de rentabilité : T2 et T3 comparés

Prenons un exemple concret :

• Un T2 de 40 m² à Antony, loué en moyenne 95 € la nuit avec un taux d’occupation de 70 %, rapporte environ 24 300 € bruts par an. Après déduction des frais de conciergerie et de ménage, le revenu net peut tourner autour de 16 000 €.
• Un T3 de 60 m² à Sceaux, avec un tarif moyen de 115 € et une occupation de 65 %, peut générer 27 300 € bruts annuels, soit environ 18 000 € nets après frais.

La conclusion est claire : les T2 et T3 offrent un rendement supérieur à la location longue durée classique, tout en s’adaptant à différents profils de voyageurs.

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Conclusion : maximiser ses revenus grâce à une gestion professionnelle

Antony, Sceaux et L’Haÿ-les-Roses sont trois villes stratégiques pour investir ou exploiter un T2 ou un T3 en location courte durée. Leur combinaison de proximité avec Paris, cadre résidentiel recherché et attractivité économique en fait des marchés solides et en pleine croissance.

Mais la différence entre un propriétaire qui gère seul et un autre qui confie son logement à une conciergerie comme Hostlyne est majeure. Avec une annonce optimisée, une tarification dynamique, un ménage professionnel et une conformité réglementaire garantie, la rentabilité peut s’envoler de plusieurs milliers d’euros par an.

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